Trop marrant!c'est une reprise americaine de..je ne sais plus quelle phrase.
bibicocci
| 3/6/2010
Oui, c'est la pub Budweiser "Wazaa" ! et elle est vraiment calquée, jeu compris ! http://www.youtube.com/watch?v=WKWH2s6CuFg
T_L
| 3/6/2010
OUI! trop bien fait fait la reprise merci Terry.
bibicocci
| 3/6/2010
J'adore !! =)
Si vous aimez les pinages, tenez, une petite vidéo bien marrante de 4 secondes : http://www.youtube.com/watch?v=LEhTSjVqR3M
Alexthebest
| 3/7/2010
Un article sur notre petite série dans les Inrocks de cette semaine. Bien sympa, malgré une faute répétée à "Kaamelott" (écrit "Kamelott") Je te le recopie ci-dessous (pas trouvé sur internet):
Les Inrockuptibles, numéro 747 du 24 mars 2010 (p90):
L'ETOFFE DES BLAIREAUX
Hero Corp met en scène des superhéros ringards. Un délice de second degré en DVD.
La deuxième saison de Hero Corp touchait à sa fin sur Comédie quand la première est sortie en DVD. Son principe est simple, mais il fallait oser: des superhéros à la ramasse, dont certains plus très jeunes, aux pouvoirs défaillants, voire inexistants, planqués dans un hameau de Lozère, font appel au neveu de leur cheftaine, un certain John, pour sauver le monde menacé par le machiavélique The Lord. Soit une sitcom produite par Calt (la boîte de prod de Caméra café), réalisée et interprétée par Simon Astier, petit frère d'Alexandre Astier, l'auteur/acteur de Kamelott (également produit par Calt). Non seulement Simon, souvent vu dans Kamelott, ressemble à son frangin, mais il a la même voix et le même esprit: second degré, prise de tête permanente, mélange de candeur et de cynisme qui mettent en pièce les codes. Comme dans Kamelott, le principe est de dire: le roi est nu. Ici pas de roi, mais des superhéros ringards. A force de bêtifier, ça rappelle l'univers d'Alain Guiraudie, chouchou des cinéphiles, qui avait joué de façon ultradistanciée avec des codes similaires dans son moyen métrage Du soleil pour les gueux. La ressemblance est certainement fortuite, mais il y a tout de même de troublants points communs. En particulier le décor de la saison 1, les causses de Lozère, que sillonnent les personnages quand ils n'ont pas une intrigue en cours dans leur village folklorique. John est évidemment le plus ahuri et met bien deux ou trois épisodes avant de comprendre de quoi il retourne. Le plus réussi est le méchant The Lord, ce super vilain qui hypnotise les gens avec son médaillon à deux balles, mais échoue lamentablement dans toutes ses entreprises. Ce que l'on a vu de la saison 2, très différent, ressemble surtout à Lost: le village a été détruit et les survivants traqués se réfugient dans un bunker, après avoir pas mal crapahuté dans la nature. Un Lost inoffensif, évidemment, aux effets spéciaux rudimentaires. Justement, on souhaite un succès modéré à Hero Corp, car il tire toute sa singularité de ses moyens réduits. Restez cheap et décalés, les gars, conseil d'ami.